Avant qu’un lieu s’ouvre, il existe en fragments : une idée griffonnée à 2h du matin, un rêve partagé autour d’un espresso tiède, un symbole sur une serviette en papier, des discussions qui durent plus que prévu.
Le Syndi’Café n’a pas commencé par une machine à espresso professionnelle. Il a commencé par une envie. Celle de créer un espace où le café devient prétexte à quelque chose de plus grand.
Un coffee shop né d’une colère douce
La colère peut être destructrice.
Mais elle peut aussi devenir fertile.
Elle peut donner envie :
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de s’organiser,
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de bâtir quelque chose de nouveau,
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de proposer un ailleurs.
L’identité s’est infusée lentement
Le nom est venu comme une évidence : Le Syndi’Café — un lieu collectif, coopératif, chaud, actif. Puis : les slogans, les affiches, la carte militante, les jeux de mots qui s’écoulent comme une crema épaisse.
Tout s’est assemblé, tasse après tasse, idée après idée.
Nous voulions un endroit :
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qui réveille,
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qui rassemble,
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qui transmette une énergie joyeuse,
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qui donne envie de participer.
Une équipe guidée par un principe simple
Le café n’est jamais neutre.
Pas dans sa production.
Pas dans son commerce.
Pas dans sa dégustation.
C’est un produit qui raconte la terre, les mains, l’histoire.
Nous avons donc choisi de travailler avec :
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des producteurs engagés,
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des circuits transparents,
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des torréfacteurs passionnés,
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des coopératives solidaires.
Parce que chaque graine mérite de porter une cause.
Un lieu pensé comme un rendez-vous
Le Syndi’Café n’est pas un coffee shop où l’on passe. C’est un coffee shop où l’on revient. Parce qu’on s’y sent :
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utile,
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écouté,
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inspiré,
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en communauté.
Les tables communes ne sont pas là par hasard.
Les magazines engagés non plus.
L’ambiance militante pop encore moins.
Tout est conçu pour créer du lien.
Et maintenant ?
Maintenant, la percolution se prépare.
Les murs se remplissent.
Les affiches s’installent.
Les cafés se choisissent.
Les idées s’assemblent.
D’ici quelques semaines, le Syndi’Café ouvrira ses portes.
On vous attendra.
Avec un espresso chaud.
Et une place pour vos idées.
Parce qu’une percolution ne se décrète pas.
Elle se construit, ensemble.
À très bientôt autour du percolateur.